Naëlle A. O'Bryan

Boum baby ! Une petite présentation rapide pour que tu t'y retrouve. Je m'appelle Naëlle Aloysia O'Bryan, ouais, on choisis pas son prénom hein. Mais en général on m'appelle plutôt Naëlle ou juste Naé, c'est mieux déjà non ? Ma magnifique personne est arrivée au monde le 15.11.58, en faisant le calcul ça me fait un total de 55 années d'existence. Je suis né en Allemagne profonde mais en fait je suis de nationalité écossaise. Je suis morte en 1988, j'étais une éditrice. Désormais je suis une.. Érinye. Qu'est ce que je peux te dire encore ? Ah ouais ce qui m'attire tu vois c'est plutôt tout le monde je suis pas chiante (mais surtout les kiwis) et en ce moment je suis célibataire. Côté budget je m'en sors ça va. Sinon dans la vie je suis employée du parc et vendeuse de bonbons et j'fais parti du groupe des true blood

« C'est con, parce que je vais te tourmenter un certain temps mon coco. Après tout, j'suis là pour l'éternité... J'ai le temps de te faire chier. »

Askiparaît, j'suis comme ça

C'est toujours difficile de se décrire soi même tu vois, mais si jamais tu demande à mes proches comment je suis ils te diront sûrement que j'suis du genre souriante, pleine de vie (même si bon, je suis juste un peu morte) et particulièrement décalée mais aussi jalouse/possessive, trop rapide (je suis hyperactive, pas de ma faute !) et beaucoup trop rancunière. Alors t'en penses quoi ? Au pire ce ne sont que des adjectif qualificatifs hein. Tu peux toujours venir me voir pour qu'on discute, tu me découvriras par toi même. En tous cas, je mords pas t'inquiètes pas.. quoique.

Tu te promènes dans la rue tranquillement, il doit être vingt heure, à tout casser. Quelqu'un s'approche de toi pour te demander si t'as du feu. Qu'est ce que tu fais ?
Je réfléchis, même si je sais pertinemment que j'ai du feu. Je fouille dans mon grand sac pendant une bonne minute avant de sortir un jolie boite d’allumette rose pâle. Et pendant tout ce temps là, je crois que je prle au brave gentil monsieur ; je lui explique que fumer c'est très très mal pour la santé, et que c'est possible d'arrêter. Je lui raconte que j'ai un arrière-grand père qui- Ah. Il est partit. Dommage !

T'es tranquille chez toi, il est vingt trois heure, posé sur ton canapé tu mate un film en bouffant des sucreries. On sonne à ta porte. C'est un voyageur qui te demande si tu peux pas l'héberger, il pleut des trombes dehors et il n'a trouvé nul part où aller. Tu réponds quoi ?
Il est le bienvenue chez moi, ce brave homme ! Je m’efface pour le laisser entrer, et je lui propose d'enlever ses affaires. Je ne suis pas gênée pour un sous -à quoi ça servirait ? Je pense que je lui parle, encore une fois, en le forçant presque à se mettre à l'aise. S'il est quand même trempé -et qu'en plus il est bien foutu- je lui propose de prendre une douche. Et s'il ne veut pas, je lui ferrait certainement un chocolat chaud. Parce que c'est le meilleur quand il fait froid ! Enfin, il y a le café aussi, mais j'ai aucune caféine ou théine dans mon appartement, je réagis trop mal à ça. Et je lui parle, encore. Mais je me dis que je dois l'ennuyer, alors je me tais... Pendant un quart de demie-seconde. Je lui propose en passant de prendre mon lit.  

On est samedi soir, en plein été, il y a une fête pas loin. Toi t'es où ?
Je lis un livre, tranquillement, affalée comme une espèce de bouse dans mon lit. Je m'en fou de la fête, je crois que c'est le dernier endroit où j'ai envie de me trouver après une journée de boulot à servir des gens qui font déjà la fêtes. Nan, moi je préfère lire, ou regarder la télé, dans la calme.

Voilà maintenant trois jours que ta voisine te saoule avec ses histoires de fantôme et d'esprit, de vampire et de diable. Mais toi, t'y crois ?
Yep, un peu que j'y crois ! Je suis à fond dedans avec elle, alors que dans son dos, avec les autres voisins, nous la traitons tous ensemble de folle. Après tout, moi j'y crois parce que je sais que c'est vrai, mais elle n'est pas censée le savoir, alors c'est marrant de se foutre un peu de sa tête.

T'es déjà allé à Zombillenium ? Comment tu trouves ?
En fait, même que j'y travaille... C'est la classe pas vrai ? Je trouve aussi ! J'aime bien, parce que l'ambiance y est sympa. C'est super marrant de se foutre de la tête des gens qui flippent sur des trucs pas vrais, et puis qui se moquent d'un véritable zombie qui marche à côté d'eux. "tout' façon, ça se voit trop qu'c'est du maquillage, lol !". Je l'attends à chaque fois, que se soit pou moi ou pour un de mes aimés collègues... Mais non cocotte, c'est du vrai.

Une amie à toi viens te voir en catastrophe elle est persuadée d'avoir vu un zombie l'autre jour en allant au parc, mais un vrai. Elle est traumatisée, qu'est ce que tu fais ?
Je la patpat gentiment, et je la rassure en lui disant que non, j'ai vérifiée, aucun de mes collègues de boulot n'est un véritable zombie. En rigolant, je dirais même que j'ai mordu dedans, rien que pour voir si après je me faisais mordre aussi. Je panique pas de savoir que c'est vrai, qu'en fait elle n'a vu que des vrais zombies. Ça me fait toujours autant rire.

Derrière l'écran

Salut toi qui lis cette fiche. Mon pseudo RPG c'est Aiden/Anna et j'ai pas assez d'années de vie derrière moi, tout ça ouais. Je suis un personnage inventé.  Comment je suis arrivée là ? je sais plus écoute, c'est loin tout ça... Je serais présente sur le forum onze jours sur sept. Sinon je voudrais encore dire que bla bla bla. Ah oui et j'ai emprunter la belle gueule de Jane Levy pour jouer mon personnage.

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<a href="http://lienprofil">[size=13]∞[/size]</a> <em>JANE LEVY</em> × naëlle a. o'bryan

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« KEEP CALM & LET ME TAKE A SELFIE »

Naëlle est née un triste 15 novembre, en 1958. Sa mère une jolie allemande tout ce qu'il y a de plus adorable, et son père, un jeune écossais pur souche, étaient deux jeunes mariés en quête d'amour et d'aventure. Leur enfant, Naëlle, fut rapidement détectée comme purement rousse à son tour. C'était une petite fille absolument adorable, gentille et souriante, elle était la petite étincelle de chaleur et de vie qui manquait à leur couple.

Malgré que Naëlle soit totalement hyperactive, et donc très rapidement fatiguante, elle était aimée de beaucoup de monde. Peut être grâce à son sourire, ou bien son optimisme un peu exacerbé. Les gosses sont naturellement positifs, mais elle l'était deux cent cinquante fois plus que les autres enfants.
Et les années passèrent ; elle grandit. En fait, c'est ce que font la plupart des enfants au fil des années, vous suivez ? Elle grandit, et devint une jolie adolescente toute aussi rousse. Elle avait héritée de la beauté de sa mère, en plus de la rousseur de son père. Légèrement myope, Naëlle porta dès ses douze ans des grosses lunettes vertes, comme ses yeux.

Bien sûr, les adolescents n'étaient pas toujours gentils avec elle, qui avait gardé son caractère d'enfant, avec juste un poil de maturité en plus... Elle n'était pas très intelligente, mais sa culture générale plus que satisfaisante la sauvait la plupart du temps en cours -bon, à part en math. Elle était vraiment nulle en math, s'en était presque impressionnant.
Ce qui passionnait vraiment notre rouquine, s'était les livres -et les bonbons et les chocolats, bien entendu. Elle en bouffait tout les jours, des navets, des livres ultra-connus, des adaptations, des nébuleuses traductions indo-russiennes... Tout y passait !

C'est donc tout naturellement qu'elle orienta sa vie vers la littérature, dès qu'elle eut quitté l'école. Certes, le fait qu'elle était une femme ne l'aidait pas. Beaucoup de ses professeurs n'avaient pas confiance en elle, et ne croyait pas que Naëlle arriverait à ses fins et pourtant... Elle devint éditrice à ses 24 ans.

L'année d'après, elle était morte.

Déprimant, n'est-ce pas ?
Un jour totalement normal, la jeune rousse prit le bus, comme très souvent, quand elle ratait le train à cause d'une panne de réveil. Elle lisait un livre, des écouteurs dans ses oreilles diffusant une musique entraînante et joyeuse. Elle remuait légèrement la tête au rythme de la musique, et devait souvent remonter les lunettes noires qu'elle portait sur le bout de son nez pour lire. Un grand sourire éclairait ses traits ; et un camion emboutit brusquement le bus.

Le plus vicieux dans tout ça, c'est qu'elle n'est pas morte sur le coup. Elle s'est réveillé, avec une migraine à tuer un bâtiment et des courbatures terribles. Elle a mit de très nombreuses minutes avant de pouvoir réfléchir correctement. Tout autour d'elle flottait une odeur métallique, d'essence aussi et celle plus désagréable du caoutchouc brûlé. Il y avait beaucoup de bruit, et elle serra très fort ses paupières pour tenter de ne pas faire exploser sa tête. Un drôle d'élancement s'était logé derrière son oeil gauche.

Naëlle ne se rendit pas tout de suite compte du sang qui collait de son front en grande quantité et qui glissait sur le côté, comme si elle était penchée. Parce qu'en fait, elle était penchée. Elle ouvrit brusquement les yeux quand elle voulut bouger, parce que Christ, elle ne se sentait vraiment plus. Son pied était coincé sous le siège de devant, le même siège étant coincée par ce qui semblait être un morceau du bus. Et, dépassant dudit morceau, une jambe et une main. La rouquine écarquilla les yeux et se mit à crier, de toutes ses forces. Il y avait du sang partout ; et des gouttes lui tomaient dessus par intermittence. De l'essence. Du liquide hautement inflammable lui tombait dessus, alors que déjà, elle sentait a chaleur trop proche d'un feu.

Je ne veux pas mourir. pensa-t-elle de toute ses forces. Je ne veux pas mourir aujourd'hui ! JE PEUX PAS !

Naëlle faisait partie des gens qui ont peur de mourir, qui veulent profiter de la vie encore des années. Sauf qu’apparemment, quelqu'un de bien plus haut placé qu'elle voulait qu'elle meurt aujourd'hui.

Le bus explosa. Il eut de très nombreux morts, d'autres sauvés juste à temps. Le feu fut rapidement maîtrisé par les pompiers, aidés de la pluie qui se mit à tomber quelques minutes plus tard. Malheureusement, tout les malheureux qui étaient restés dans l'épave étaient maintenant morts, tués par l'explosions.

Cependant, quand on proposa à la rouquine (en version cadavre) un contra pour travailler à vie dans un parc d'attraction, elle accepta sans plus demander de quoi il s'agissait. Elle s'en foutait, même si c'était à l'état de Zombie, elle voulait vivre.
Naëlle ne devint cependant pas une Zombie, mais bien une Érinye, étrange chose de la mythologie, qui ressemblait étrangement à des gorgones, en encore plus flippante. Ses cheveux roux devenaient d'étranges couleuvres qui remuaient et s’emmêlaient en sifflant sur la haut de son crâne. De légères rivières de sang coulaient de ses yeux, ainsi que de ses oreilles, et c'était plutôt dérangeant. C'était poisseux et salissant, même si ça allait particulièrement avec l'ambiance macabre du parc. De son nouveau boulot. Elle devenait méchante et presque cruelle en érinye, et Naëlle n'aime pas trop ça.

Mais au moins elle vie (en apparence), et c'est tout ce qu'elle demandait.

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FÉLICITATION TU ES VALIDÉ-E

"SELFIE SELFIE SELFIE" ahahahah ça m'a buté de rire !  En tout cas j'aime bien ton personnage c'est assez amusant, surtout ce contraste, avec un tel monstre je m'attendais pas à une si délicate personne, et c'est ce qui roxe !  Je le redis, chouette choix d'avatar. Avec tout ça, tu es donc validée !!  (mets pas trop de sang sur les bonbons stp)          :zombie:

Bravo à toi petit zombie    tu es validé ! Maintenant tu peux aller travailler car personne te donnera des sous gratuitement ! Ensuite, il serait sans doute bon pour toi de poser tes cartons après quoi tu devrais vraiment pendre une bonne crémaillère et te lier à pleins de personnes afin d'avoir une vie sociale épanouissante !

Ceci fait, nous t'invitons  à rejoindre la CB, le Flood et puis surtout.. la zone RP !

Si tu as la moindre question, n'hésite pas.    Allé, vole petit zombie, vole !    

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