DEMETRI L. ALTMAN

Boum baby ! Une petite présentation rapide pour que tu t'y retrouve. Je m'appelle Demetri Lenz Altman, ouais, on choisis pas son prénom hein. Mais en général on m'appelle plutôt Dem, c'est mieux déjà non ? Ma magnifique personne est arrivée au monde le 17.04.86, en faisant le calcul ça me fait un total de 28 années d'existence. Je suis né à Vérone mais en fait je suis de nationalité Allemande. Je suis vivant. Qu'est ce que je peux te dire encore ? Ah ouais ce qui m'attire tu vois c'est plutôt les femmes et en ce moment je suis célibataire. Côté budget je m'en sors ça va. Sinon dans la vie je suis écrivain et j'fais parti du groupe des being human

« Quand on veut trouver du sens, on en trouve. C'est même le commencement de la paranoïa. »

Askiparaît, j'suis comme ça

C'est toujours difficile de se décrire soi même tu vois, mais si jamais tu demande à mes proches comment je suis ils te diront sûrement que j'suis du genre amical, patient et sérieux mais aussi paranoïaque, irrespectueux et obstiné. Alors t'en penses quoi ? Au pire ce ne sont que des adjectif qualificatifs hein. Tu peux toujours venir me voir pour qu'on discute, tu me découvriras par toi même. En tous cas, je mords pas t'inquiètes pas.. quoique.

Tu te promènes dans la rue tranquillement, il doit être vingt heure, à tout casser. Quelqu'un s'approche de toi pour te demander si t'as du feu. Qu'est ce que tu fais ? Ce genre de personne ça commence par te demander gentiment un briquet puis ça fini par te suivre jusque devant chez toi pour te cambrioler. Le mieux à faire c'est de l'ignorer et de passer son chemin. Tout le monde sait qu'une cigarette ne s'allume pas toute seule.

T'es tranquille chez toi, il est vingt trois heure, posé sur ton canapé tu mate un film en bouffant des sucreries. On sonne à ta porte. C'est un voyageur qui te demande si tu peux pas l'héberger, il pleut des trombes dehors et il n'a trouvé nul part où aller. Tu réponds quoi ? Soit je lui indique l’hôtel le plus proche avant de fermer ma porte, soit je cède finalement par mauvaise conscience et l'invite à dormir sur le canapé. Ce qui ne m'empêchera pas de le surveiller de près durant la nuit. On ne sait jamais.

On est samedi soir, en plein été, il y a une fête pas loin. Toi t'es où ? L'expérience m'a apprit une chose : l'important est d'être là où ça se passe. Alors j'y vais. Ce n'est pas comme si j'avais des obligations de travail et puis quelques verres d'alcool et un peu de dépravation finissent toujours par faire fuser mon inspiration.

Voilà maintenant trois jours que ta voisine te saoule avec ses histoires de fantôme et d'esprit, de vampire et de diable. Mais toi, t'y crois ? Je psychote sur des choses crédibles par sur l'apparition de Dracula. J'ai beau avoir l'imagination fertile je garde quand même les pieds sur terre. Ça me rassure quand même de savoir qu'il y a des gens plus atteins que moi.

T'es déjà allé à Zombillenium ? Comment tu trouves ? J'y suis déjà allé il y'a longtemps. Avant que je ne déménage en Italie. Quand j'étais enfant mes parents m'y emmenaient une fois tous les deux mois. Ça donnait la chaire de poule à ma mère mais j'adorais ce parc. En m'approchant de la majorité Zombillenium est devenu un vrai attrape nana. Avec 85% de chance de réussite autant dire que j'y emmenais beaucoup de filles. C'est vrai que les déguisements sont vraiment bien fait... Malheureusement je n'y suis pas retourné depuis mon retour à Berlin.

Une amie à toi viens te voir en catastrophe elle est persuadée d'avoir vu un zombie l'autre jour en allant au parc, mais un vrai. Elle est traumatisée, qu'est ce que tu fais ? Quand je vous dit que les femmes sont sensibles à la peur. J'aurais été opportuniste j'en aurais profité. Mais je me contente de faire ce que tout ami ferait : je tente de la rassurer même si je ne la prend pas du tout au sérieux et lui fait prendre conscience que c'est scientifiquement impossible.

Derrière l'écran

Salut toi qui lis cette fiche. Mon pseudo RPG c'est Paon et j'ai 19 années de vie derrière moi, tout ça ouais. Je suis un personnage inventé.  Comment je suis arrivée là ? Quelqu'un m'a traîné. Je serais présente sur le forum sept jours sur sept (je fais de mon mieux pour passer régulièrement). Sinon je voudrais encore dire que je suis super contente d'avoir finalement craqué et que le forum est magnifique    ! Ah oui et j'ai emprunter la belle gueule de milo ventimiglia pour jouer mon personnage.

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<a href="http://lienprofil">[size=13]∞[/size]</a> <em>MILO VENTIMIGLIA</em> × demetri l. altman

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« Always go away ◭ Always come back »

MILAN (Italie) – Quelques mois auparavant

La prise de conscience est parfois douloureuse et brutale. Elle l’est d’autant plus lorsque la vérité que l’on redoute tant remet en cause notre vie entière. J’avais ouvert les yeux sur une nouvelle journée. Une journée chaude et ensoleillée comme l’on pouvait s’y attendre à Milan. Un cadre idyllique pour les touristes mais également pour ses habitants. Vivre dans la deuxième plus grande ville d’Italie m’avais ouvert de nombreuses portes et j’avais su profiter de tous ces avantages depuis que j’avais quitté le berceau natal de ma mère, Vérone. J’étais moi aussi né là-bas, dans la ville culturelle qui avait inspiré Roméo et Juliette. La différence c’est que ce n’était pas réellement ce qui était prévu. Ma mère originaire de Vérone avait été mutée à Berlin des années avant qu’elle ne rencontre mon père. Elle n’avait qu’une seule envie celle de rentrer dans son pays d’origine. C’était avant qu’elle ne s’entiche d’un Allemand et qu’elle ne choisisse de fonder une famille avec lui à Berlin. Ironie de la chose ils avaient tous deux décidés un mois avant ma naissance prévisionnelle de partir quelques jours à Vérone pour renouer avec la famille. Ça sans se douter que j’arriverais plus tôt que prévu.

Ils étaient arrivés en Italie à deux, ils rentraient à Berlin à trois. Je grandis donc en Allemagne, au cœur même de la capitale. Comme si l’histoire de ma naissance n’avait pas été assez compliquée le mal du pays envahi à nouveau ma mère des années après. J’avais alors 22 ans. Mon père céda et ils déménagèrent à Vérone. Je les suivis, m’imaginant que ce changement me serait bénéfique. Deux années après je migrais vers Milan dans l’espoir de monter les échelons comme journaliste. Ma détermination me permit d’intégrer un des plus grands journaux de la ville. J’étais aujourd’hui encore affilié à ce journal, et malgré toute la chance dont je bénéficiais, c’était à mon tour d’avoir le mal du pays. Il était temps que je retourne à Berlin.



Etape 1 – Démissionner

« T’es qu’un petit con Demetri ! » La seule phrase que mon merveilleux patron réussi à siffler devant ma démission. J’aurais pu le faire plus proprement c’est vrai. Mais tout était détestable chez lui. Ça allait de sa façon de s’habiller à sa façon de lire nos propositions d’articles à haute voix. « Ne t’inquiète pas je reviendrai peut être dans quelques années. » Je me détournais de lui pour sortir de la pièce. « Essaye et je t’accueillerai avec des coups de pieds au cul ! » Aucun de nous ne portait l’autre dans son cœur et pourtant tout deux étions respectueux du travail de l’autre. Néanmoins cette fois je venais à la fois de jouer ma carrière mais je venais également de le mettre dans une posture délicate. Il devait déjà s’afférer à trouver un nouveau journaliste avant que ma période de préavis ne se termine.

Etape 2 – Prendre conscience que je venais de démissionner

Pour se faire je n’avais besoin que d’un verre, une bouteille de scotch et d’un fauteuil confortable pour sombrer dedans. Pathétique ? Je vous l'accorde. Ce travail était dynamique et enrichissant. Je me plaisais à écrire des articles. Le rythme était certes soutenu et parfois difficile à tenir mais ça n’avait jamais été un problème. Pourtant j’avais démissionné et je me sentais à la fois mal et libre. Je n’aurais plus à subir les remontrances d’un homme ayant pour seul objectif de faire de la lecture critique dans son bureau. Je crois qu’au fond j’avais besoin de cette pause et les verres d’alcool s’enchaînant, je me mis enfin à sourire sincèrement en y pensant.

Etape 3 – Quitter mon appartement

C’était presque plus difficile de démissionner que de quitter cet appartement. Mon "chez moi". J’avais eu du mal à laisser les clefs à son nouveau propriétaire. Il s’en était sans doute rendu compte quand il lui avait fallu tirer le trousseau de toutes ses forces pour me l’arracher des mains. Je me promettais de ne jamais repenser à cette situation embarrassante.

Etape 4 – Prévenir la famille

Une étape qui aurait pu venir avant. Mais je savais que si je les avais appelés avant d’agir ils auraient tout mit en place pour m’empêcher de faire cette énorme erreur. Même ma mère qui avait ressenti la même chose que moi n’aurait pas compris cette démarche. C’est vrai que contrairement à elle rien ne m’attendait là-bas en dehors de mes souvenirs passés. Après quelques minutes d’hésitation je composais le numéro. Répondeur. Je n’avais jamais été aussi heureux de l’entendre. Il venait de m’éviter un drame familial. Drame familiale qui éclaterait de toute façon mais autant que je sois encore plus éloignés d’eux que je ne l’étais avant que ça n’arrive.
« C’est Demetri. J’espère que tout le monde va bien. J’aurais préféré ne pas avoir à vous dire ça par message mais c’est décidé, je retourne à Berlin. Je vous rappellerais une fois arrivé. Je vous aime. »

Etape 5 –Trouver un logement sur Berlin

Je n’étais pas à plaindre financièrement mais vivre à l’hôtel plus d’une semaine était un luxe que je ne pouvais pas m’offrir vu les circonstances. J’entendais vu le fait que je n’avais plus de travail. Trouver un logement était devenu ma priorité. Je passais mes journées à éplucher les petites annonces, prêt à sauter sur n’importe quelle occasion tout en passant en crible chaque annonce suspecte. Désespéré de ne pas trouver ce que je cherchais je finis par répondre à une annonce plus qu’intéressante mais qui ne faisait pas mention d’un colocataire mais d’une colocataire. A moins de venir avec une perruque sur la tête difficile de se faire passer pour une femme. Et encore. J’avais quand même appelé et elle avait quand même accepté de me rencontrer. Eden. Elle paraissait plutôt amicale aux premiers abords et pourtant j’étais assez mal à l’aise. Ce n’était pas un homme qu’elle recherchait pour de la colocation et j’imaginais pourquoi. Seulement ça devenait plus qu’urgent de me trouver quelque chose. Au fur et à mesure de la discussion je finis par me sentir obligé de dire ce qui m’écorchais la bouche avant même que je ne l’ai prononcé mais qui m’assurerai une chance d’obtenir cette chambre : « Aucune ambigüité. Je ne suis pas vraiment attiré par les femmes... » Quelle erreur je n’avais pas commise.

Etape 6 – Me lancer dans l’écriture

J’ouvrais mon ordinateur, saluant d’un soupir de satisfaction la page blanche que je devais maintenant remplir. Je l’avais fait.

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Je suis encore traumatisée de ta façon de faire   

Merci ! Je me range toujours du côté des gagnants   

FÉLICITATION TU ES VALIDÉ-E

Houhou j'aime ta façon d'écriiiire

Bravo à toi petit zombie tu es validé ! Maintenant tu peux aller travailler car personne te donnera des sous gratuitement ! Ensuite, il serait sans doute bon pour toi de poser tes cartons après quoi tu devrais vraiment pendre une bonne crémaillère et te lier à pleins de personnes afin d'avoir une vie sociale épanouissante !

Ceci fait, nous t'invitons à rejoindre la CB, le Flood et puis surtout.. la zone RP !

Si tu as la moindre question, n'hésite pas. Allé, vole petit zombie, vole !

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