RAGNAR FORSBERG

Boum baby ! Une petite présentation rapide pour que tu t'y retrouve. Je m'appelle Ragnar Forsberg, ouais, on choisis pas son prénom hein. Mais en général on m'appelle plutôt Rag, c'est mieux déjà non ? Ma magnifique personne est arrivée au monde le 23.03.1685, en faisant le calcul ça me fait un total de 329 années d'existence. Je suis né en Suède mais en fait je suis de nationalité internationale. Je suis mort en 1723, j'étais un soldat. Désormais je suis un vampire. Qu'est ce que je peux te dire encore ? Ah ouais ce qui m'attire tu vois c'est plutôt les femmes et en ce moment je suis célibataire. Côté budget je suis tranquille. Sinon dans la vie je suis guichetier à Zombillenium et j'fais parti du groupe des trueblood

« YOU MAKE ME WANNA DIE »

Askiparaît, j'suis comme ça

C'est toujours difficile de se décrire soi même tu vois, mais si jamais tu demande à mes proches comment je suis ils te diront sûrement que j'suis du genre avenant, sincère, moqueur, joueur, intelligent, charismatique mais aussi impulsif, froid, distant, colérique, lunatique, mystérieux, sanguinaire, violent, maladroit, insensible. Alors t'en penses quoi ? Au pire ce ne sont que des adjectif qualificatifs hein. Tu peux toujours venir me voir pour qu'on discute, tu me découvriras par toi même. En tous cas, je mords pas t'inquiètes pas.. quoique.

Tu te promènes dans la rue tranquillement, il doit être vingt heure, à tout casser. Quelqu'un s'approche de toi pour te demander si t'as du feu. Qu'est ce que tu fais ? S'il est tard et qu'il n'y a pas de témoin, j'imagine que je lui dirais que j'ai du feu oui, que je lui proposerais de faire quelques pas avec moi et que je terminerais en lui disant que je ne donne jamais rien sans échanger avec quelque chose. Ca l'amuserait, ou pas. Mais je ne perdrait pas une occasion pour goûter à son sang. Je boirais le sien jusqu'à ce qu'il perde connaissance et que tout ça ne soit plus qu'un vulgaire cauchemar, pour lui..

T'es tranquille chez toi, il est vingt trois heure, posé sur ton canapé tu mate un film en bouffant des sucreries. On sonne à ta porte. C'est un voyageur qui te demande si tu peux pas l'héberger, il pleut des trombes dehors et il n'a trouvé nul part où aller. Tu réponds quoi ? Bien que le sang frais est un très grand intérêt pour moi, je garde un stock assez important dans mon frigo, gentiment donné par l'hopital du coin (ou volé, ça dépend, mais on ne peut pas toujours faire des victimes, sinon, on finirait par se poser bien des questions). Bref. Lorsque je suis posé chez moi, il est absolument hors de question de laisser quelqu'un entrer. C'est mon monde, ma maison et je n'ai pas à laisser quelqu'un squatter. Je ne laisse pas d'inconnu chez moi, impossible. Alors me connaissant, je le fous dehors, vite fait et sans la moindre amabilité, en plus de ça. Non mais je rêve. Les humains me tapent bien assez sur les nerfs au boulot.

On est samedi soir, en plein été, il y a une fête pas loin. Toi t'es où ? Ca dépend de la fête, mais en règle général, je m'y pointe, histoire de voir l'ambiance qui règne. J'ai beau être vieux, j'aime faire la fête et j'ai appris à changer mes envies et mes attentes au fil des années. Vampire ou pas, j'aime toujours la gente féminine. Et si mon cœur appartient encore à la femme que j'ai laissé derrière moi il y a tant d'années, il n'empêche que le plaisir charnel compte.

Voilà maintenant trois jours que ta voisine te saoule avec ses histoires de fantôme et d'esprit, de vampire et de diable. Mais toi, t'y crois ? Je suis un vampire, je suppose que pour cela, il y a bon nombre de choses auxquelles je crois. Je ne peux pas nier mon existence, ce que je suis devenue ou encore, la personne que je serais encore et toujours. Ma personnalité et mon comportement prouve que les humains ne sont pas les seules créatures de ce monde. Et ça ne risque pas de changer, de toute façon. Les humains sont stupides, s'ils pensent qu'il n'y a que eux.

T'es déjà allé à Zombillenium ? Comment tu trouves ? Je travaille à Zombillenium. On dira que ce n'est pas toujours simple. Que ce soit par mes collègues, déjà. Nous sommes de natures différentes, parfois, et cela n'a absolument rien d'évident, en fin de compte. Non que cela me déplaise vraiment mais les choses étant ce qu'elles sont, je ne peux rien en dire de plus, d'une certaine manière. Du moins. Et puis bon, les collègues ne sont pas le seul problème. Avec un poste comme le mien, je dois également endurer les humains, naïfs, qui sont persuadés que nous ne sommes que des mortels, comme eux, déguisés pour le plaisir de l'amusement. A quoi bon se déguiser, quand on a enfin un lien pour être soi-même.

Une amie à toi viens te voir en catastrophe elle est persuadée d'avoir vu un zombie l'autre jour en allant au parc, mais un vrai. Elle est traumatisée, qu'est ce que tu fais ? Mes amis humains ne sont pas particulièrement nombreux. J'imagine que pour le bien du parc, et pour que ça n'attire pas des gens encore plus stupides que les clients que l'on y trouve, je serais amené à la pousser à croire qu'elle s'est finalement trompée. Et que de toute façon, il ne s'agit que de déguisement. Et puis bon, je suis censée en savoir quelque chose, puisque je suis moi-même un mort vivant, d'une certaine manière, du moins.

Derrière l'écran

Salut toi qui lis cette fiche. Mon pseudo RPG c'est Avengedinchains et j'ai 23 années de vie derrière moi, tout ça ouais. Je suis un personnage inventé.  Comment je suis arrivée là ? Par harcèlement, oui oui !. Je serais présent(e) sur le forum 7 jours sur sept. Sinon je voudrais encore dire que Je suis sexy. Ah oui et j'ai emprunter la belle gueule de Michael Fassbender pour jouer mon personnage.

Code:

<a href="http://zombillenium.forumactif.org/u7">[size=13]∞[/size]</a> <em>MICHAEL FASSBENDER</em> × Ragnar Forsberg

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« ENTRETIEN AVEC UN VAMPIRE »

Si les gens lisaient mon histoire, sans doute ne serait-il pas en mesure de la croire réel, d'imaginer qu'il puisse s'agir de ma vie. De toute façon, la plupart des gens imaginent que Zombillenium n'est qu'une fable ou en tout cas, qu'on n'y trouve que des hurluberlu déguisé et qui s'imaginent être les personnes de leurs costumes. S'ils connaissaient la réalité, sans doute que les choses auraient été différentes. Mais nous comptons sur la pseudo intelligence des clients pour tomber dans le piège. J'étais un soldat, quelque chose qui ne peut pas disparaître de mon corps et de mon âme et c'est peut être à cause de ça qu'il m'arrive de me montrer un peu trop souvent impulsif. Entre ça, et ma nature actuelle, bien sûr. Disons que les choses ne sont pas toujours évidentes pour moi, mais je ne cherche pas à faire en sorte que cela s'arrange vraiment. Cela ne compte pas, pour moi, ça ne m'intéresse pas et je m'en fiche. Le jugement des gens a arrêté, depuis bien longtemps, de me gonfler, de toute façon, au vu de la génération actuelle, si je m'attardais sur le comportement des gens, j'aurais abandonné depuis déjà bien longtemps. Je suis né en 1684, c'est pour dire, à quel point, les jours me semblent identiques et différents, à la fois. Le temps ne passe pas toujours comme je le voudrais et par instant, c'est bien trop compliqué, encore. La guerre change un homme, de ce que l'on dit, il est vrai que ça ne m'a guère réussi, par le passé. J'ai participé à la Grande Guerre du Nord, comme elle se nomme. Guerre qui se déroula de 1700 à 1721. Si je ne la connus pas au court des premières années, je décidai de m’enrôler, lorsque j’eus atteint mes 18 ans. Ce ne fut pas simple au début, bien sûr. Comment prétendre le contraire, de toute façon. Les cicatrices de mon corps sont encore bien présentes, alors qu'elles auraient pu disparaître lors de ma transformation. Des marques qui ont fait de moi qui je suis. Cet être qui n'est pas toujours facile à vivre, qui peut, également, par instant, se montrer détestable et effrayant. Bordel, je ne suis vraiment pas toujours aussi facile à vivre que l'on aurait pu le vouloir.

Je me souviens du jour où je suis devenu un vampire. Le pire jour de ma vie et en même temps, le plus beau. C'est fou ce que les choses peuvent devenir différentes, lorsque l'on découvre un tout autre monde, qui s'ouvre à nous. Un plaisir, néanmoins, mais ce n'est certainement pas moi qui me permettrait de dire le contraire, de toute évidence. La guerre s'était terminée depuis deux ans. Je tentais vainement de reprendre goût à cette vie. Mais une fois que l'on a goûté à la guerre, une fois que l'on a tué des gens, disons que les choses sont différentes. Ou en tout cas, c'est l'illusion que j'en ai. Les choses prennent une toute autre tournure oui, voilà. Je n'airais pas dire que j'étais fière de ce que j'avais fait, cela aurait été une bien lourde erreur, bien sûr. Mais.. Je ne savais plus où donner de la tête et je passais mon temps à traîner dans les bars. Ca m'amusait, et surtout, ça me détendait. Mais à un point inimaginable. Boire me permettait d'oublier ma condition, d'oublier où je me trouvait. Et ça me faisait me sentir mieux. On ne pouvait pas me le reprocher, quand même. Sauf qu'un soir, alors que j'étais parfaitement bourré et je tenais à peine debout, on m'a fait une promesse à laquelle je n'ai pas pu résister. On m'a proposé l'immortalité. Et j'étais plein d'alcool, je me foutais des responsabilités, et de toute façon, je ne prenais rien de tout ça vraiment au sérieux. En Suède, on nous faisait souvent des promesses étranges alors cela ne m'a pas vraiment traumatisé, on dira. J'étais déchiré, je n'ai que très peu ressenti la douleur qui me déchirait le corps. Le sang me quittait, je perdais vie et pourtant, je n'étais même pas capable de résister, je ne me souviens même pas d'avoir essayé d'une quelconque façon. Ca me bouffait, me dévorait de l'intérieur alors que j'essayais de faire en sorte que ça ne se passe pas de cette manière. Lorsque je me suis réveillée, le lendemain matin, je ne savais plus qui j'étais, mais je me sentais clairement différent. J'avais faim et aucun plat n'était en mesure de me rassasier. Si ce n'est la viande, lorsqu'elle n'était pas cuite. Bien cru, saignante de toute part. C'était immonde et je me dégoûtais moi-même, au début. Mais au fil des jours, des mois et des années, je ne tardai pas à y prendre goût. Vraiment goût, préférant le sang humain à tout autre genre.

J'étais marié et pourtant, je ne pouvais clairement plus rester auprès des miens, dans une situation pareil. Je ne tuais pas les humains, mais je prenais suffisamment de sang pour survivre et pour qu'ils tombent dans les vapes, oubliant notre rencontre. Je devenais maître en la matière mais ma femme était persuadée que je la trompais. Lorsqu'elle m'avoua être enceinte, les options me manquaient. J'étais éternel et je suçais le sang d'humain pour survivre. Comment aurais-je pu devenir père ? Je décidai alors de prendre la décision la plus difficile qu'il puisse être donné à un adulte. Je disparus, quittant ma famille, la femme que j'aimais.

Je ne partis guère loin, restant dans l'ombre, épiant chaque moment de ma femme et de mon fils. J'étais prêt à tout, pour les protéger mais je ne pouvais guère rester avec eux. Cela me changea, me rendant froid, détestable et irritable. Je détestais les gens, parce que je ne pouvais pas être prêt des miens. Je ne savais plus où donner de la tête, faisant de mon mieux pour affronter chaque situation. Lorsque les miens partirent en Allemagne, je suivis le mouvement. Me faisant discret, toujours, mais toujours présent, malgré tout. Nous étions au Xxe siècle, et ma femme n'était plus, ainsi que mon fils. Les générations se poursuivaient, c'était tellement étrange, tellement.. Auter chose, également, que je ne savais plus réellement où donner de la tête. Les choses étaient comme elles étaient, et je devais me taire pour que ça ne prenne pas une tournure trop étrange. Je pouvais être qui je voulais. Mais je faisais parti de la vie de chacun de mes descendants, d'une manière ou d'une autre. J'en avais besoin, à défaut d'avoir pu être un père.

Comment j'ai atterri à Zombillenium, je ne suis même pas en mesure de le dire. Mon apparence change, lorsque je m'y trouve, et j'y suis chaque jour, puisque je suis guichetier. Un moyen simple de trouver du sang à boire, à la seule condition que je ne tue personne, bien sûr. Je me peinturlurais la gueule chaque soir, pour être davantage flippant, pour jouer un « rôle » de la manière qui me plaisait vraiment. Et dans le font.. Je me prêtais au jeu, bien malgré moi.

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   FÉLICITATION TU ES VALIDÉ-E
   

Je n'ai pas saisie cette histoire de trouver du sang, faut pas croquer les visiteurs du parc hein !! xD

Mais sinon ton personnage me fait triper    , hâte de voir ce que tu vas faire de ce désagréable mais sexy bonhomme  

   Bravo à toi petit zombie tu es validé ! Maintenant tu peux aller travailler car personne te donnera des sous gratuitement ! Ensuite, il serait sans doute bon pour toi de poser tes cartons après quoi tu devrais vraiment pendre une bonne crémaillère et te lier à pleins de personnes afin d'avoir une vie sociale épanouissante !

   Ceci fait, nous t'invitons  à rejoindre la CB, le Flood et puis surtout.. la zone RP !  

   Si tu as la moindre question, n'hésite pas. HA PARDON TU FAIS PARTIE DU STAFF     Allé, vole petit zombie, vole !        

   

   

   

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